On m'appelle le peintre des danseuses, on ne comprend pas que la
danse a été pour moi un prétexte à peindre de jolies étoffes et à rendre
le mouvement (Degas).
Des nus resplendissants d'intimité, où les chairs et les muscles colorés
façonnent les corps, saisis dans l'accomplissement de gestes quotidiens.
A la perception de l'instant, Degas ajoute celle de l'espace grâce aux vibrations
de la lumière... et des mouvements mis à nu.
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